« La douleur aiguë postopératoire constitue un des facteurs de risque majeur de la DCPO dont elle fait le lit le plus souvent. C’est dire l’importance de la prise en charge pendant ce moment clef. Pour la majorité des auteurs, il s’agit des douleurs des quatre premiers jours. Les soins douloureux périopératoire, gestes invasifs, pansements, mobilisation à la « hussarde », stress font intégralement partie de ce facteur de risque. »
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